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C’est parce que nous avons solutionné un problème du point de vue de nos interlocuteurs, que nous les avons aidé à atteindre un objectif qui a été fixé ensemble, que nous pouvons dire qu’il y a réussite.
Ce n’est donc pas nous qui autoproclamons notre réussite, ce sont nos clients avec lesquels nous faisons tout un travail d’évaluation du travail accompli, auxquels nous demandons in fine : « est ce que vous avez résolu votre problème ? ».
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De même, ce n’est pas nous qui disons quel est le problème de nos interlocuteurs. Nous, nous investiguons pour savoir quel est ce problème, comment il fonctionne. À partir du moment où le problème perçu est défini, nous allons chercher à se mettre d’accord sur un objectif minimal à atteindre. Ainsi, dans tout ce premier temps de cadrage, nous nous mettons d’accord sur l’objectif : sous la forme de l’objectif initial formulé par l’interlocuteur et qui montrera que son problème est résolu ou d’un objectif moins important – minimal, une première étape – qui montrera que la situation s’est débloquée. Notre interlocuteur principal, c’est le commanditaire.
La lecture du résultat va donc se faire de son propre point de vue. Mais il y a aussi le collaborateur concerné par l’accompagnement qui va avoir une autre vision de la situation Et dès le départ, la question lui est posée ainsi : « nous sommes mandaté par la direction voici ce qu’ils veulent, et vous par rapport à ça, quel est votre problème, votre objectif, etc. ? ».
Quand nous intervenons sur un mode de cellule psychologique, et que nous avons des volontaires, cela veut dire que nous allons pouvoir nous entendre sur la définition d’un problème et d’un objectif qui permettrait de le résoudre. Leurs objectifs peuvent être très différents de ceux de la direction, par exemple. Mais nous intervenons pour faire en sorte qu’une situation bloquée ou problématique évolue et que de chaque point vue, nos interlocuteurs puissent dire, à la lumière de leurs objectifs respectifs : « ca a bougé dans le bon sens », « c’est résolu ».